Ce projet est né de la rencontre entre deux perspectives, artistique et écologique, incarnées par la collaboration des agences togaether et Tactic/14 Septembre.
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togaether est une agence de production scénographique et artistique, fondée par Philippine Watelet dans l’objectif de démocratiser le monde de l’art. Par le biais d’installations artistiques et d’événements pluridisciplinaires, togaether offre des expériences immersives impactantes en collaboration avec un important réseau d’artistes français et internationaux.
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Tactic/14 septembre est une agence de conseil en transition écologique fondée par Romain Peton qui vise à développer une meilleure compréhension des enjeux environnementaux et propose d’aider les entreprises à répondre à ces problématiques afin de s’adapter à l’urgence écologique, tant au niveau de leur stratégie que de leur marketing ou de leur communication.

Les limites planétaires représentent les 9 équilibres biologiques et physiques du bon fonctionnement de la vie sur terre. L’humanité, qui grâce au progrès technique a désormais la capacité d’influer sur ces équilibres, ne doit pas les dépasser afin de garantir les conditions nécessaires à un futur vivable. Les activités humaines modifient ces équilibres, à tel point que 6 limites sont aujourd’hui déjà dépassées*.
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Les limites planétaires définies en 2009 par une équipe de 26 chercheurs du STOCKHOLM RESILIENCE CENTER font, aujourd’hui encore, l’objet de recherches pour toujours mieux comprendre ces équilibres. Ces derniers sont interconnectés, le franchissement d’une limite peut entraîner le basculement d’un autre équilibre.
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Par exemple, si le climat se réchauffe, l’ensemble de la biodiversité est touché (faune et flore). Le climat est une des limites planétaires, parmi les neufs équilibres mentionnés. La réduction du gaz à effet de serre n’est donc pas l’unique combat à mener, bien qu’un des plus urgents.

Source : Wang-Erlandsson, L., Tobian, A., van der Ent, R.J.et al. A planetary boundary for green water. Nat Rev Earth Environ 3, 380–392 (2022)

Le bilan carbone d’un événement est l’évaluation du Gaz à Effet de Serre (GES) émis pour la conception, la production et l’achèvement d’une manifestation. C’est un outil précieux pour améliorer le projet à chaque étape de son cycle de vie et réduire tant que possible les émissions de GES.
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> Le poste énergie : la consommation de l’évènement
> Le déplacement des équipes et des participants : quels types de mobilités, vélo, train, avion...
> La restauration des équipes et des festivaliers :
quels types de repas, végétaliens, végétariens, carnés, bio, local.
> Les matériaux et services déployés lors de l’événement :
aménagements, décors, infrastructures, communications...
> Le fret/la logistique : l’ensemble des transports de l’équipement
> L’hébergement
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NOTRE BILAN
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Anticipation Festival, une démarche pensée bien en amont pour réduire au minimum les émissions de l’événement, comment ? Par exemple, nous avons travaillé en partenariat avec la Réserve des Arts (association qui accompagne les professionnel.le.s du secteur de la culture, de la création et de l’artisanat dans l’appropriation des pratiques de l’économie circulaire et le réemploi de matériaux) qui nous a fourni plus de 95% des matériaux utilisés par la scénographie de notre festival. D’autres exemples ? La restauration est bio, locale et végétarienne. Nous avons également veillé à faire un festival régional en limitant les déplacements internationaux.
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Scopes 1 - 2 - 3 significatifs
Réalisé avec l’outil d’évaluation carbone de la Fondation Good Planet
Basé sur la version 20.0 de la Base Carbone® de l’ADEME. Ce calcul permet d’établir une empreinte carbone mais ne fait pas office de Bilan Carbone®.

Les émissions de cet évènement sont estimées à 17,58 tonnes équivalent CO2.